C'est un Psaume qu'on peut étudier à la suite de différentes histoires de la Bible : - la création (versets 1 à 9) - la sortie d'Egypte (verset 10 à 15) - le retour d'exil et la reconstruction du temple puisque c'est à cette époque Mais aussi dans le cadre de thèmes |
Quand on lit Esdras, ce psaume semble avoir été écrit pour faire participer La structure du psaume est répétitive, répéter c'est une méthode d'apprentissage... Le psaume raconte l'histoire de la création et de la sortie d'Egypte. Faire participer, répéter, raconter, partager... |
Toutes ces notes font de ce psaume, un psaume facile d'accès pour les enfants !
A méditer donc, dire, lire et vivre avec eux sans modération !
Quelques activités / animations possibles autour de ce psaume :
→ lectures antiphonées, chœur parlé : les enfants aiment ces lectures participatives. Écrire et photocopier le psaume en écriture lisible et grande, surligner les passages de chaque lecteur avec des couleurs fluos. Prévoir une lecture publique lors d'un culte en ajoutant des gestes, des images affichées ou, au contraire, en jouant sur la sobriété (jusque dans le code vestimentaire des lecteurs) pour mettre en valeur le texte seul...
Texte à imprimer en version Parole de Vie : clic
→ "écrire à la manière de" : Proposer aux enfants d'inventer un psaume en utilisant le "squelette" du psaume 136. Vous pouvez télécharger le squelette en différentes versions bibliques à compléter. Laisser le temps aux enfants de réfléchir à leurs propres sujets de reconnaissances toute concrètes et/ou les histoires témoignages personnelles qu'ils voudraient raconter dans leur psaume... Puis écrire, corriger, mettre au propre... et pourquoi pas... publier !
Télécharger le psaume à compléter : clic
→ Illustrer : Proposition d'un petit livre à colorier sur la première partie du psaume 136
Télécharger le mini-livre : clic Explications pour la fabrication : clic
→ Libre interprétation du mot "miséricorde" qui selon les versions bibliques se trouve dans le refrain. Étymologiquement le mot miséricorde vient de l'association du mot "misère" et du mot "cœur". Être touché dans son cœur par la misère. Mais en français le mot "corde" n'évoque pas le "cœur" mais bel et bien une "corde"... Alors j'aime détourner l'étymologie du mot "miséricorde" en l'illustrant par une corde que Dieu lance à celui qui se noie dans la misère ! Imaginer un sauvetage en mer, au fond d'un puits ou au bord d'une falaise... Emmener une vraie corde et la tenir physiquement. Attraper, tenir la corde que Dieu nous lance...